Potelières. Violement agressé hier sur ses terres. Pourquoi ?
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- VARZICK dans La spoliation
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Des documents taillés sur mesure mais sans aucun fondement … pourquoi ?
Restrictions de circulation
Sens interdit : Ils ont mis les panneaux en sens inverse : l’arrêté dit qu’il est interdit de monter et ils ont placé le panneau sens interdit dans le sens de la descente !!
Interdiction PL de plus de 12 T : Le panneau d’interdiction poids lourds, par contre, est bien placé juste après l’entreprise SONZOGNI-GAMAG, permettant ainsi aux poids lourds de cette entreprise d’emprunter le chemin pour rentrer au parc, et même pour en sortir puisqu’il semble que le sens interdit ne les concerne pas non plus !
La commune, au frais du contribuable, a même élargi la voie communale pour faciliter la circulation des semi-remorques de GAMAG.
Discrimination
La volonté discriminatoire de la commune de Potelière est exprimée ici : elle favorise l’entreprise Gamag dont le siège est installé à St Martin de Valgagues (là où elle paie des impôts et non pas à Potelières).
Bien entendu le chemin en question ne comporte aucun pont ni aucun ouvrage qui justifierait une telle décision. Le préfet a était informé du caractère discriminatoir de l’arrêté en question sans en donner suite.
Plainte de mars 2008
En mars 2008, la municipalité de Potelières a déposé une plainte à l’encontre de la Ferme de Bouc. L’objet de cette plainte était les remblais entreposés sur un terrain destinés à accueillir la construction d’un hangar agricole (PC accordé en bonne et due forme par la même municipalité).
La plainte est accompagnée d’une pétition initiée par Pascal SAVOIE, conseiller municipal de la commune, et Paul SONZOGNI, alors proche de la faillite. Les énergumènes signataires de la pétition prétendaient que le goudron (en provenance de la départementale Alès/St Ambroix) contenu dans les remblais était toxique et dangereux pour les riverains….
Entre autres, parmi les signataires : un couple de suisses qui a fait l’ acquisition d’une maison, l’a agrandie et aménagée sans permis de construire pour y exercer des activités hôtelières.
Il semble que les remblais de la Ferme de Bouc, déposés à plus de 500 mètres de chez eux, les dérangeaient beaucoup plus que la décharge de leur voisin CHAUVET située juste derrière leur maison ou celles des autres voisins (SONZOGNI ou SAVOIE). C’est à cause de cette pétition que les décharges sauvages ont été photographiées.